ENTREPREUNARIAT PAR FABRICE HOCHUI ET LA GEPAD+

L ENTREPREUNARIAT

C EST QUOI ?

Je suis FABRICE HOCHUI fondateur du GROUPEMENT EUROPEEN DE PROFESSIONNELS PLUS DYNAMIQUES ET SURTOUT PLUS AUDACIEUX.

Je suis ENTREPRENEUR depuis trente ans, cependant j’ai créé dix ENTREPRISES, bien sur j’ai connu l’échec qui m’a permis d’apprendre beaucoup de part mes erreurs/

J’ ai finis par avoir du SUCCÈS et beaucoup de GRANDS SUCCÈS avec un processus qui me permet de RÉUSSIR à la vitesse de la lumière de nos jours grâce aux nouvelles technologies sur le NET.

La compréhension que nous avons de l’entrepreneuriat doit beaucoup à l’économiste Joseph Schumpeter ainsi qu’à l’école autrichienne. Pour Schumpeter, un entrepreneur est une personne qui veut et qui est capable de transformer une idée ou une invention en une innovation réussie.

L’entrepreneuriat conduit à une « destruction créatrice » dans les marchés et les secteurs de l’économie parce que de nouveaux produits et modèles économiques arrivent et remplacent les anciens.

Ainsi, la destruction créatrice est à l’origine du dynamisme industriel et de la croissance à long terme.

Pour Frank Knight (1967) et Peter Drucker (1970), l’entrepreneuriat consiste à prendre des risques.

L’entrepreneur est une personne qui est prête à mettre en jeu sa carrière et sa sécurité financière pour mettre en œuvre une idée.

A mettre son temps et son capital dans une entreprise risquée.

Une autre définition de l’entrepreneuriat décrit le processus de découverte, d’évaluation et d’exploitation d’occasions.

Ainsi un entrepreneur peut être défini comme « quelqu’un qui agit non en fonction des ressources qu’il contrôle actuellement, mais qui poursuit inlassablement une occasion » (Jeffry Timmons).

En 1985, Peter Drucker révise sa position, l’entrepreneuriat intelligent consiste à ne pas prendre de risques

Gifford Pinchot III (1985) introduit le terme d’ Intrapreneuring (transposé en « intrapreneuriat » en français) pour décrire les activités entrepreneuriales au sein même d’une grande organisation.

L ENTREPREUNARIAT SOCIAL

Depuis quelques décennies une nouvelle catégorie d’entrepreneurs dispose d’une visibilité phénoménale et grandissante, les entrepreneurs sociaux.

Les entreprises qu’ils créent n’ont pas une finalité lucrative seulement, c’est plus pour mettre une idée;

Le tester avec des amis, des proches avec un roupe de chomeur par exemple à travers une association mais aussi sociale : il s’agit de répondre à des besoins sociaux peu ou pas couverts par le marché.

Citons à titre d’exemple Muhammad Yunus, fondateur du système du micro-crédit et de la banque GrameenFlorence Nightingale, pionnière des soins infirmiers modernes, Maria Montessori qui a créé une école fondée sur une nouvelle approche des besoins pédagogiques.

L ENTREPREUNARIAT AU FEMININ

L’entrepreneuriat féminin s’intéresse à un profil spécifique d’entrepreneurs, celui des femmes.

Une femme entrepreneure comme la définit Dina Lavoie (1988) est celles « qui, seule ou avec un ou des partenaire(s), a fondé, acheté ou accepté en héritage une entreprise, qui assume tous les risques et responsabilités financières, administratives et sociales et qui participe quotidiennement à sa gestion courante »2. 

Le premier article académique sur les femmes entrepreneures était celui de Schwaetz en 19763.

La théorie féministe est composée de trois groupes: féminisme libéral, féminisme social et féminisme constructionniste social.

Le premier (féminisme libéral) part de l’idée que les femmes et les hommes sont égaux dans leurs capacités rationnelles.

L’explication théorique des différences qui existent entre les deux est basée sur la discrimination ou l’existence de barrières structurelles (éducation, opportunités d’emploi, réseaux sociaux…)4.

Le féminisme social part de l’idée que les femmes et les hommes ne sont pas forcément les mêmes. Ce courant se focalise sur les besoins uniques, expériences, compétences et valeurs des femmes.

Il suggère que les différences entre homme et femme sont le résultat des processus de socialisation qui forment l’identité d’individu.

Qui influencent non pas les caractéristiques biologiques, mais les caractéristiques comportementales4.

Pour le dernier courant, le genre se réfère à ce qui est vu comme masculin ou féminin indépendamment du sexe biologique de la personne5. Il défend l’idée que les identités sont socialement construites6.

En France, il existe plusieurs programmes et réseaux (généraux ou spécifiques) d’aide aux femmes entrepreneurs7.

Les réseaux d’accompagnement spécifiques au femmes:

  • Services Financiers : Femmes Business Angels créé en 2003 et France Active crée en 1998.
  • Services Non Financiers: Action’elles (crée en 1994 à Lyon), Business and Professional Women (1930), Diversitelles (2008), Enovatrices (2012), Association des Femmes Chefs d’Entreprises (1945), Fédération Pionnières (2008), Association Femmes Entrepreneurs (2011), Les Femmes de l’économie (2010), Femmes Entrepreneurs (2011), Force Femmes (2005), Génération Femmes d’Influence (2010), Mampreneurs (2009), Programmes de l’Essec (2008), Racines- CLEFE (1989), Women Business Mentoring Initiative (2010) …..

LES AIDES A

L ENTREPREUNARIATS

Aides à l’entrepreneuriat en France[modifier | modifier le code]

Dans le but de favoriser la création d’entreprise en France, plusieurs solutions sont disponibles pour accompagner les jeunes créateurs d’entreprises et stimuler l’économie8 :

  • Création du statut d’auto-entrepreneur, devenu micro-entrepreneur depuis le 1er janvier 2016;
  • Création d’un pass entrepreneur numérique ;
  • Création d’un fonds pour l’innovation sociale ;
  • Mise en place dans le cadre du dispositif Pepite, du statut étudiant-entrepreneur et du diplôme étudiant-entrepreneur;
  • Prêts d’aide à la création d’entreprise (PCE) (à taux zéro, facilités de remboursement).
  • Aide financière de Pole Emploi pour les demandeurs d’emploi créateurs d’entreprise9

La création des réseaux financiers/non financiers d’aide aux entrepreneurs:

  • Réseaux d’accompagnement financiers: CCI Entreprendre en France, Initiative France, Maisons des Entrepreneurs, Paris Initiative Entreprise (PIE), Association pour le droit à l’initiative économique (ADIE), Financités/Planet Finance France;
  • Réseaux d’accompagnement non financiers: Agence pour la création d’entreprises (PCE), BGE Réseau, Cédants et Repreneurs d’Affaires (CRA), Re-Créer, Réseau Entreprendre, Union des Couveuses d’Entreprises.

Étapes de la création d’entreprise[modifier | modifier le code]

Créer une entreprise nécessite de faire aboutir différentes étapes :

  1. Trouver une idée à partir de vos atouts, vos intérêts, vos goûts et motivations ainsi que les grandes tendances. Il n’est pas forcément obligatoire de trouver une idée innovante pour réussir un projet de création d’entreprise : Une grande majorité des créations d’entreprises qui réussissent sont la copie de business existants.
  2. Évaluer votre idée de création d’entreprise grâce à un outil d’évaluation de projet. Cette étape permet d’évaluer le potentiel du projet mais aussi de la capacité à le mener à bien.
  3. Réaliser une étude de marché.
  4. Réaliser un plan d’affaires ou business plan soit le point complet sur la stratégie suivie, assorti d’une prévision technique et financière, fort utile notamment pour trouver des financements
  5. Choisir un statut juridique adapté.
  6. Réaliser les formalités nécessaires auprès de l’administration.
  7. Apprendre à vendre, à faire de la qualité, à gérer.

Le Plan d’affaires ou Business plan est une étape fondamentale de la création d’entreprise. Il permet de déterminer la viabilité du projet en structurant ses idées et visualiser le fonctionnement futur de son entreprise, en évaluant ses charges, sa production, son développement.

Si le potentiel du projet y apparaît explicitement, il sera un outil de crédibilité lors de la recherche de financements et de partenariats.

Il est fortement recommandé de consulter des professionnels de la création d’entreprise (cabinet de formation et de conseil en création d’entreprise, chambres de commerce, chambre des métiers, associations d’aide à la création d’entreprise…).

Si vous avez choisi de créer une société1 pour lancer votre entreprise, c’est-à-dire de créer une personne morale (au sens juridique, cela signifie que votre entreprise est une entité propre, vous en êtes le créateur mais elle a son propre patrimoine et sa propre personnalité juridique), plusieurs étapes sont à respecter :

  1. Immatriculation de la société au RCS (Registre du Commerce et des Sociétés),
  2. Rédactions des statuts de la société : les statuts permettent de fixer les principales règles de fonctionnement de votre société (mode de prise de décision, dirigeant, etc.),
  3. Dépôt du capital social à la banque : cette dernière vous délivrera une attestation de dépôt de fond,
  4. Publication officielle dans un Journal d’Annonces Légales (une liste des journaux d’annonces légales est disponible ici [archive]),
  5. Envoi du dossier au CFE (Centre de Formalités des Entreprises), le dossier devra comprendre diverses pièces comme les statuts, l’attention de dépôt ou l’Annonce Légale. C’est alors que vous pourrez obtenir votre KBis, la « carte d’identité » de votre entreprise.

La recherche de fonds[modifier | modifier le code]

Il existe plusieurs moyens pour trouver des fonds :

  • Le Love Money ou ricum qui consiste à demander de l’argent à ses proches (familles, amis, collègues de travail),
  • L’association loi 1901 Love money pour l’emploi, dont l’objet est de rapprocher même au-delà des proches et en complément: les voisins, les épargnants locaux, régionaux, voir nationaux qui sont sensibilisés par le projet d’entreprise ou qui connaissent le projet par relations.
  • Cette association s’oriente depuis 2011 plus particulièrement pour financer la post-création (deux ou trois ans après la création de l’entreprise) Les Montants sont collectés, entreprise par entreprise.
  • Les épargnants souscrivent à une augmentation de capital de l’entreprise qu’ils ont choisi et reçoivent en contrepartie de leur versement, sous forme d’actions, une part de propriété de l’entreprise.

Chaque opération de collecte de fonds rassemble de 30 à 100 personnes par entreprise et le montant recueilli représente alors entre 100 k€ à 400 k€ par entreprise et par opération.

Ces capitaux peuvent dans certains cas être collectés en plusieurs fois, voir sur un ou deux ans. Les épargnants, personnes physiques, peuvent déduire de leurs impôts un pourcentage non négligeable des sommes versées en souscription au capital de ces entreprises : ils peuvent déduire 18 % sur l’IR (Impôt sur le Revenu) et 50 % sur l’ISF (Impôt de Solidarité sur la Fortune).

  • Les prêts d’honneur, proposés par certaines collectivités locales ou des associations de prêts d’honneur comme Réseau Entreprendre.
  • Le microcrédit, proposé en France par certaines associations comme l’Adie (L’Association pour le droit à l’initiative économique).
  • L’emprunt classique auprès d’un établissement de crédit (le montant empruntable est fonction des garanties apportées et du business plan réaliste démontré).
  • Le financement participatif (en anglais crowdfunding) qui permet le financement par toutes personnes convaincues par le(s) porteur(s) de projet via une plateforme internet. Le crowdfunding se décline en plusieurs catégories : le financement en don sans contrepartie (HelloAsso), avec contrepartie (KissKissBankBank, Ulule, Patreon) le financement en prêt Lendix, SPEAR, Unilend, Lendopolis) et l’equity crowdfunding (Wiseed, SparkUp, Anaxago, SmartAngels).
  • Ces différents types de crowdfunding se complètent et permettent à des particuliers de trouver les financements dont ils ont besoin. En commerce et restauration, Bulb in Town permet par exemple de financer son projet en échange de contreparties en nature ou de parts de capital de l’entreprise2.
  • Les business angels. Ils interviennent en général dans une phase très amont dans le développement de l’entreprise.
  • Les fonds de Capital risque.
  • Appel public à l’épargne : modification de la définition.
    • C’est un effet du rapprochement du droit français avec ce qui se fait dans les principaux pays européens et cela a été réalisé à l’occasion de l’ordonnance de mise en application de la loi sur la modernisation de l’économie.
    • Depuis le 1er avril 2009, on ne parle plus d’appel public à l’épargne mais d’offre au public de titres financiers.
    • Cela concerne toujours les titres de capitaux émis par les sociétés par actions, les titres de créance et les parts d’organisme de placement, mais cela fait, notamment, plus moderne : on ne vient pas demander de l’argent à l’épargnant mais on lui offre plutôt la possibilité de le confier aux « opérateurs » avisés.

Ce faisant, les règles liées à l’ancienne modalité sont supprimées ainsi que le statut de société « faisant appel public à l’épargne »

LES ETAPES DE LA CREATION

D ENTREPRISE

  • En accompagnement de cette évolution, on notera :
    • la suppression du minimum de capital à 225 000  pour les sociétés par action pour l’offre nouvelle au public.
    • Dorénavant, qu’elles y recourent ou non, leur capital doit être de 37 000  seulement.
    • En outre, ce sera à l’opérateur de marchés de fixer les critères de capital et le montant minimal pour les conditions d’admission à la cotation sur le marché réglementé.
    • la limitation de l’obligation de réalisation du rapport de contrôle interne et de gouvernance.
    • la possibilité pour les SAS (Sociétés par Actions Simplifiées) de procéder à une offre au public de titres à condition que le montant par investisseur et par offre ou la valeur nominale dépasse le seuil de 50 000 , tel que fixé par l’AMF.
    • À noter cependant que ces SAS restent exclues de l’offre au public de titres financiers ou de l’admission sur un marché réglementé de leurs actions.
    • l’autorisation, pour les sociétés de procéder à une augmentation de capital sans droit préférentiel de souscription par placement privé, dans la limite de 20 % du capital social et par an.
    • la suppression, pour les sociétés dont les actions sont admises aux négociations sur un marché réglementé, de l’obligation d’annexer à leurs comptes annuels l’inventaire des valeurs mobilières détenues à la clôture de l’exercice.
  • On trouvera tout cela en détail dans l’ordonnance 2009-80 du 22 janvier 2009 qu’on peut consulter et télécharge
  • Si vous voulez APPRENDRE L ENTREPREUNARIAT A SUCCES
  • click ici https://groupement974.systeme.io/b5dc0d40

Publié par

fabrice

FORMATEUR ENTREPRENEUR CONSULTANT ET RESTAURATEUR